LA MD TEAM RIDER

Simone Pearce

Bienvenue dans la famille, Simone !

Nous sommes ravis de te présenter la nouvelle recrue de la Team Maya Delorez, Simone Pearce. Simone est une cavalière de dressage australienne, basée en Allemagne. Elle a commencé sa carrière aux Pays-Bas comme working student et groom.

La liste de ses accomplissements est longue et impressionnante, surtout quand on voit qu’elle a réprésenté l’Australie dans les Jeux olympiques de Tokyo. Nous croyons dur comme fer que Simone est en route vers la gloire, et qu’elle ne s’arrêtera qu’une fois qu’elle y sera parvenue. Nous avons hâte de la suivre tout au long de son parcours !

« Maya Delorez combine parfaitement le style équestre sportif et la mode fonctionnelle et moderne. Je suis devenue accro à ces vêtements pratiques à l’esthétique athlétique ! » Simone Pearce


SIMONE
  • Âge : 32 ans (née en juillet 1991)
  • Pays de résidence : Allemagne
  • Pays d’origine : Australie
  • Profession : Cavalière de dressage
  • Instagram : Simone Pearce Dressage

PETIT ENTRETIEN 💬

Pour ceux qui ne te connaissent pas, qui est Simone Pearce ?
« Je suis la fan de chevaux par excellence, j’adore tous les animaux, mais je suis passionnée par le dressage ! J’ai grandi dans la campagne australienne avec un seul rêve, celui de devenir une aussi bonne dresseuse que celles que je voyais à la télé aux Jeux olympiques. J’ai consacré ces douze dernières années à travailler dur pour passer de working student et groom à la place que j’occupe aujourd’hui pour réaliser mon rêve d’enfant : participer aux Jeux olympiques. »

Raconte-nous comment tout a commencé. Quand as-tu vu un cheval pour la première fois ? 
« J’ai commencé à monter à cheval quand j’avais à peine un an, dans la ferme familiale. À ce moment-là, je ne pensais pas au dressage. En grandissant, j’ai gardé les troupeaux, je suis allée au poney-club, je campais dans le bush avec les poneys pendant les vacances d’été – j’étais à des lieues de l’endroit où je me trouve aujourd’hui… mais mon amour pour les chevaux est toujours le même ! »

Quand as-tu commencé à t’intéresser au dressage ?
« Je me suis vraiment intéressée au dressage quand je suis arrivée en Europe. J’ai ‘atterri’ dans le poste de working student/groom aux Pays-Bas. J’ai travaillé sur de gros événements ici, et je suis tombée sous le charme du talent des cavaliers et de leurs montures si bien dressées. J’ai alors décidé de retarder mes études universitaires et de commencer une carrière dans l’industrie équestre. »

Peux-tu nous raconter une journée normale pour toi ?

  • Je me lève à 06:00, et je commence par le plus important : un café avant d’aller promener mon chien. 
  • 07:00 – Je suis dans l’écurie et je monte mon premier cheval avant 07:15. Puis encore deux autres. Généralement, je commence toujours par mes chevaux « importants » de compétition.
  • Entre 08:30 et 09:00, je fais une pause pour le petit-déjeuner, au cours de laquelle je joue encore un peu avec les chihuahuas. 
  • Entre 09:00 et 12:30, je monte encore quatre ou cinq chevaux selon l’entraînement dont ils ont besoin. L’intensité de notre entraînement varie selon les jours et les compétitions en vue. 
  • De 13:30 à 16:30, je monte à nouveau à cheval (habituellement, quatre chevaux, selon les circonstances). Parfois l’entraînement est intense, parfois c’est plus tranquille. On fait des tours de piste, du saut, de la rando… J’essaie de changer souvent pour que ça reste intéressant pour les chevaux. 
  • Ensuite, aux alentours de 16:30, je donne un cours à l’une des filles de l’écurie. 
  • Quand j’ai fini mon travail dans l’écurie, je retourne promener mon chien. La plupart du temps, nous allons dans l’autre écurie rendre une petite visite à ma jument et à son poulain. 
  • Après quoi, je me détends, je dîne, je regarde Netflix, et je me laisse tenter par quelques emplettes en ligne !

Qu’est-ce qui te motive ? 
« Les journées peuvent être rudes dans l’industrie et il me semble que mes objectifs sont inatteignables et que je n’aurais jamais la chance d’y arriver. Mais, en toute franchise, il me suffit d’une bonne session d’entraînement pendant laquelle j’enseigne à un cheval quelque chose de nouveau et je retrouve cette sensation d’être à ma place. Le cheval et moi passons de bons moments, nous ne faisons qu’un, et je retrouve mon inspiration et ma motivation. Pour moi, ce sont les chevaux qui nous motivent ! »

Peux-tu nous donner tes meilleures astuces pour les jeunes cavaliers et cavalières qui rêvent d’une belle carrière dans les sports équestres ?
« Il faut avoir envie de travailler dur, de se battre et de tout donner chaque fois qu’on croise une opportunité ! »

Quels sont les défis que tu as relevés, et les leçons que tu as apprises au cours de ta carrière ?
« Je vis seule en Europe depuis que j’ai 18 ans. J’avance à tâtons dans la vie, et j’essaie de me construire, de me trouver dans des situations plus clémentes, plus prospères – j’ai traversé beaucoup de galères toute seule. Il y a tant d’argent et de politique dans notre industrie que je me sens parfois dépassée, mais j’essaie juste de me concentrer sur mon propre parcours, et de ne pas me comparer aux autres. »

Quels sont tes objectifs principaux en ce moment ?
« Au niveau professionnel, je voudrais trouver le partenaire parfait, et me faire une place dans le classement des 15 meilleurs dresseurs du monde ! Et puis, je pense aussi aux Jeux de Paris, et je ne suis pas la seule… 

Au niveau personnel, je cherche toujours à me trouver dans un contexte qui me rend heureuse, satisfaite, et qui me permet de continuer à grandir et à m’améliorer.

Tu es une cavalière de dressage expérimentée, comment te prépares-tu pour une compétition ? Est-ce que tu peux nous donner tes trois meilleures astuces ?

  • Plus tu veux réussir, plus tu dois te préparer. Entraîne-toi pour le test, identifie tes faiblesses et trouve le meilleur moyen d’y remédier. J’essaie de mettre une stratégie au point pour surmonter les difficultés que mes chevaux et moi rencontrons, de cette façon, je sais toujours comment réagir pendant les concours.
  • Ne te laisse pas obséder par les résultats. Bien sûr, on veut toujours faire de son mieux, et c’est génial de gagner. Mais c’est le chemin parcouru qui compte, et pas la destination. Alors prends les choses comme elles viennent et continue à te perfectionner. L’échec d’aujourd’hui peut devenir la réussite de demain si tu as le cran de te servir de tes expériences !
  • Amuse-toi ! Ça sert à ça, l’équitation ❤️

« L’échec d’aujourd’hui peut devenir la réussite de demain »

Quels sont tes produits MD favoris ? 
« Je ne quitte plus les pantalons !!!! C’est mon look basique, à l’écurie ou pour aller faire les courses. Il n’y a aucun doute, c’est mon produit préféré sur le marché de l’équitation ! »

Découvre la tenue de Simone