NOUVELLE AMBASSADRICE

Ioli Mytilineou

BIENVENUE DANS LA FAMILLE IOLI !

Grande annonce ! 🔈Nous sommes enchantés d’accueillir notre nouvelle ambassadrice, Ioli Mytilineou. La talenteuse cavalière grecque qui fait sensation dernièrement sur les parcours de saut d’obstacle, et qui est en train d’accéder au statut de star ! 

« Je suis incroyablement excitée de commencer ma collaboration avec MD. La raison principale en est que j’adore la philosophie de cette marque, et le respect qu’elle a pour ses ambassadeurs et ses clients. C’est une marque qui a encore tout à accomplir et qui se donne tous les moyens d’y parvenir. Je trouve que ces deux caractéristiques représentent particulièrement bien mes propres ambitions sportives et reflètent le début de ma carrière. Bien que nous n’évoluions pas exactement dans le même domaine, ces similarités nous ont conduit à adopter le même état d’esprit.

Dès le moment où j’ai été contactée par MD, je savais que, si je devais un jour collaborer avec une marque, ce serait avec celle-là. J’apprécie profondément l’enthousiasme dont ils font preuve envers mon travail, car ils font un pari sur l’avenir en choisissant une athlète qui n’a pas totalement fait ses preuves à haut niveau. En souhaitant travailler avec moi, ils montrent qu’ils croient en moi, et cela me donne encore plus envie de réussir.  » Ioli

Bonjour ! Pour ceux qui ne te connaissent pas, comment décrirais-tu Ioli Mytilineou ?
« Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis une cavalière grecque de 24 ans, je suis ultra motivée et j’adore ce que je fais. Je travaille dur depuis mon enfance pour faire partie des meilleurs cavaliers de saut d’obstacle du monde. Je rêve de participer aux plus grandes compétitions senior, et c’est mon objectif d’y parvenir. En 2021, non seulement est devenu réalité, mais en plus je l’ai fait avec le cheval que j’ai connu toute ma vie, et mon meilleur ami.

Je suis née en Grèce, et j’ai déménagé en Belgique en 2016 pour lancer ma carrière équestre. J’ai évolué dans un environnement dont le niveau était tellement haut, que cela m’a donné envie d’en faire partie. Je viens juste d’accèder au haut niveau, et je travaille tous les jours avec mes chevaux et mon équipe pour y rester. Si vous n’aviez jamais entendu mon nom auparavant, j’espère que, dorénavant, vous vous en souviendrez ! »

Quand es-tu entrée en contact avec un cheval pour la première fois ?
« Les chevaux ont fait partie de ma vie, avant même que je sache prononcer leur nom. Je suis née dans une famille amatrice de chevaux, et c’est tout naturellement que j’ai commencé à m’intéresser à eux aussi. J’étais si jeune à l’époque, je ne savais pas qu’ils m’emmèneraient si loin, mais je savais qu’ils feraient toujours partie de ma vie, d’une manière ou d’une autre. La Greece n’a pas de catégories poney officielles, mais ma mère est anglaise, et elle s’est assurée que je puisse en monter. J’ai donc fait de l’équitation sur des poneys jusqu’à mes douze ans, avant de passer aux chevaux. Ma famille est si passionnée par les chevaux, je suis heureuse de partager cette passion avec eux. Mes parents me soutiennent tellement, et je sais sans l’ombre d’un doute qu’ils mes meilleurs alliés dans ma quête du succès. »

Quelle est la facette dans ton travail quotidien avec les chavaux que tu préfères ?
« Vous allez dire que c’est cliché, mais je ne vois rien de mieux que de travailler avec mon animal favori. J’aime aborder le challenge d’apprendre à connaitre une espèce qui nécessite d’apprendre une nouvelle forme de communication, et pas seulement celle à laquelle nous sommes habitués. Nous devons développer des compétences pour nous comprendre, et pour le dresser sans utiliser les mots. Il est extrêmement gratifiant de travailler avec un cheval. Dans leur comportement et dans leur enthousiasme à accomplir les tâches qui leur sont demandées, ils savent nous montrer s’ils nous ont compris ou pas. C’est une qualité que j’apprécie énormément, et qui me motive d’autant plus à m’améliorer. »

« Les chevaux savent nous aider à garder les pieds sur terre, en nous rappelant qu’il est impossible de tout savoir. »

« Je suis convaincue que je resterai pour toujours une éternelle étudiante en ce qui concerne les chevaux, que ce soit pour leur nourriture, leur entraînement ou les soins qu’il fauut leur procurer tous les jours. Ce sont des êtres vivants, ils évoluent et s’adaptent constament, et c’est pour cette raison que nous devons être capables de remarquer ces changements et de nous y adapter à notre tour. »

Qu’elles proviennent du monde équestre ou pas, quelles sont tes inspirations ?
« Je m’inspire de tous ceux qui travaillent dur pour être les meilleurs à ce qu’ils font, que ce soient des athlètes, des artistes ou des personnalités politiques. J’essaie d’être une athlète qui performe au plus au niveau de son sport. Je comprends les efforts, le temps et les sacrifices qu’il faut donner pour y arriver, et pour y rester.

Les cavaliers qui m’inspirent sont ceux dont j’ai l’impression qu’il savent tirer le meilleur de leurs chevaux, mais sans repousser les limites. C’est pour cela que je voue une admiration sans bornes à Steve Guerdat. C’est un véritable cavalier qui adore ses chevaux. Quand on l’observe, on voit tout de suite combien ils sont importants pour lui, et qu’il place leur santé et leur bien-être tout en haut de sa liste de priorités. J’essaie d’aborder ce sport avec la même mentalité. »

« Je ne suis pas le type de personne qui utilise la force pour avoir des résultats. J’entraîne mes chevaux au saut d’obstacle parce que c’est ce qu’ils aiment faire. »

À quoi ressemble une journée classique pour toi ?
« J’ai tendance à me réveiller relativement tôt, car j’obéis à mon horloge interne. Je saute rarement le petit déjeuner, surtout parce que j’apprécie l’énergie qu’il me donne pour bien commencer la journée. Je passe du temps avec mes chevaux, et je les monte généralement jusqu’à l’heure du déjeuner. Ensuite je mange, et je continue en planifiant mon travail avec les chevaux en fonction des compétitions à venir. Comme je mange souvent à l’extérieur quand je suis en compétition, j’aime cuisiner mes trois repas par jour. Pour moi, il est très important d’avoir une nutrition saine. Je me couche tôt. J’aime pouvoir être au lit aux alentours de 21:30, ce qui me permet d’être bien reposée le jour suivant pour tout recommencer !

Quel est ton objectif équestre sur le long terme ?
« Je suis quelqu’un qui se place la barre très haut. J’ai de nombreux objectifs, à la fois sur le court et le long terme. Mes objectifs sur le long terme comprennent le développement d’une écurie bien fournie qui pourra m’aider à maintenir ma positions parmi les meilleurs athlètes équestres. Il est de plus en plus difficile de trouver des chevaux, car tout le monde cherche la même chose. Je suis une cavalière qui vient d’une nation qui a très peu d’athlètes de haut niveau. Je m’efforce de faire partie de plusieurs championnats et compétitions de haut niveau, et de représenter honorablement mon pays. J’espère rester dans ce domaine pendant encore de nombreuses années, que ce soit en tant que cavalière, entraîneuse ou mère de petits cavaliers ! »

Est-ce que tu as des projets intéressants pour le futur ?
« J’ai une vie bien remplie dans le domaine équestre, avec des tonnes de projets passionants. J’ai particulièrement hâte de participer aux séries GCT avec cinq coéquipiers que j’admire énormément. Ce sera la première fois que je ferai partie d’une équipe GCL. Je suis ultra motivée. Je vais aborder chaque épreuve au fur et à mesure qu’elles se présentent, et je vais faire de mon mieux.

Et puis bien sûr, il y a les championnats du monde à Herning cet été. C’est le championnat pour lequel je me prépare en priorité car ce sera la première fois que j’y participe. Et puis, ce n’est pas en rapport avec les compétitions, mais je voudrais signaler que Maya Delorez est la première marque avec laquelle je collabore. Quand j’y pense, ça me fait beaucoup de premières cette année !

Comment te prépares-tu pour une compétition ? Tu peux nous donner des conseils ou des astuces ?
« La préparation pour une compétition est abordée différemment selon les individus, et selon l’événement. Personnellement, j’aime me préparer de la même façon pour tous les concours, que j’y participe pour m’entraîner ou pour essayer de le gagner. »

  • Mon conseil le plus important est de veiller au bonheur et au bien-être de son cheval dans les jours qui précèdent l’événement. Ils ne peuvent pas l’exprimer avec des mots, mais je suis certaine que le change d’environnement, le transport et les compétitions sont des facteurs de stress pour eux. C’est pour cela que je cherche à réduire leurs niveaux de stress au minimum avant un concours. Je le mets au pré, je fais de la randonnée avec eux, et je le fais faire des exercices d’étirement.
  • Je participe à des compétitions de plus en plus éloignées, alors j’aime prendre le temps de parler des différents itinéraires possibles et du programme avec mon palefrenier pour m’assurer que le planning est préparé à l’avance. Cela me permet ensuite de planifier l’entraînement de mes chevaux avant le voyage et de préparer tout ce dont ils auront besoin pendant un long trajet. Et cela permet aussi à mes palefreniers de commencer à s’organiser à l’avance, et éviter de paniquer inutilement à la dernière minute.
  • Je fais toujours bien attention à ne pas épuiser mes chevaux, je veux qu’ils soient heureux de sauter les obstacles, et qu’ils ne le voient pas comme une corvée. C’est pourquoi, j’aime bien travailler souvent sur le plat. Cela me permet de rester performante, et d’améliorer la manipulation et la souplesse de mes chevaux. Cela favorise une bonne condition physique sans mettre trop de pression sur leurs muscles et leurs tendons. Quand je saute, je préfère garder le niveau le plus bas possible, pour apprendre à rester concentrer et aborder chaque obstacle individuellement.

Quels sont tes produits MD favoris ?
« MD consacre tant de temps et d’efforts à concevoir les produits qu’ils sont très nombreux à être prisés par le public. Néanmoins, s’il faut absolument une réponse à cette question, j’ai un faible pour la série Compression. Ces modèles sont parfaitement ajustés, sans faire le moindre compromis sur le confort. Ce n’est pas facile d’équilibrer l’élégance et le confort, mais en prenant le temps de concevoir minutieusement ses pièces, MD relève ce défi haut la main. Le tissu permet de retenir la chaleur en hiver, et laisse respirer la peau en été. Les efforts fournis par la marque en matière de look sont toujours très remarqués. L’esthétique de ces pièces est appréciée de tous, même de ceux qui ne montent pas à cheval !

La gamme se developpe constamment avec des ajouts de pièces d’une excellente qualité. Je sais sans l’ombre d’un doute que Maya Delorez deviendra l’une des plus grandes marque de sport équestre. Je nous souhaite à tous de belles réussites en 2022 ! »

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